Notre document de campagne dans les boîtes aux lettres
6 Juin 2021 , Rédigé par droin
Notre document de campagne est en cours de distribution. Ci-dessous, notre éditorial.
Et si l’heure du grand réveil
sonnait maintenant !
« La France sera ce que les Français auront mérité » Georges Clemenceau
On a rabâché aux enfants des années 1960-1970 qu’ils avaient de la chance. Chance de ne pas connaître la guerre ; chance de vivre des temps bénis ; chance d’être des enfants gâtés. Devenus grands, les enfants ont pu mesurer l’exactitude de ces propos.
Leur jeunesse appartenait à une époque qui ne connaissait ni chômage, ni racisme. Une époque sans dette, sans conflits ethniques. Une époque soutenue par une économie florissante. Avec ou sans diplôme, les jeunes trouvaient des emplois à chaque coin de rue. L’insécurité n’était pas un problème ; les zones de non droit n’existaient pas. Ces temps ne connaissaient ni embarras avec le voile ; ni difficulté avec le porc à la cantine ou les horaires de piscine. La laïcité, notre culture, nos modes de vie, nos héros nationaux ne posaient de problème à personne. La fiscalité, en ce temps-là était ridicule : aujourd’hui la France est le pays où les prélèvements obligatoires (impôts et taxes) sont les plus importants du monde. Cette époque était celle de toutes les libertés : liberté d’expression, liberté d’innover, d’entreprendre. Oui, cette époque était bénie et quarante et quelques années plus tard, tout a été mis à sac par des politiques antis France et antis Français.
Certes, les élections départementales n’ont pas beaucoup d’enjeux nationaux, mais ce scrutin doit servir de soupape avant que tout n’éclate.
« La France sera ce que les Français auront mérité », disait Clemenceau. Jamais cet aphorisme n’a été aussi prégnant. Dans une démocratie, le chef c’est le peuple. Un peuple qui a choisi pendant des décennies ceux qui nous ont coulés, comme ils ont coulé notre pays, doit se reprendre et chercher d’autres alternatives. Notre Nation, comme l’ont révélé plusieurs milliers de militaires dans une tribune devenue fameuse, est au bord de l’explosion. C’est ce qui nous pend au nez et c’est ce que nous voulons tous éviter.
C’est l’un des objets de notre candidature : permettre aux électeurs de se libérer avec leur bulletin de vote. C’est plus pacifique et démocratique que le grand chaos qui se profile si l’on continue sur la même voie.