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Le blog de Dominique Droin
Articles récents

Article que j'ai adressé à Boulevard Voltaire

1 Mai 2020 , Rédigé par droin

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Planification de la pandémie, et si le scénario n'était pas fictif

23 Avril 2020 , Rédigé par droin

Si certains les disent stupides et incompétents, ils ne le sont pas à ce point. Ceux qui nous gouvernent ont bien compris que l’interdiction faite aux pharmacies de vendre des masques n’avait pas de sens. Ils ont bien compris que des sociétés ne demandaient qu’à en fabriquer, à condition toutefois qu’on leur en donne l'autorisation. Ils ont bien compris que le protocole du Pr Raoult était efficace mais ils ne l'admettent pas. Ils ont bien compris que l’on manquait de tests mais ne font rien pour remédier à la pénurie. Ils ont bien compris que si cette pandémie était meurtrière, elle l’était à peine davantage que la plupart de celles qui ont déjà sévi. Ils ont bien compris que leur porte-parole ferait mieux de se taire, mais ils la laissent pérorer pour ajouter de la confusion à la confusion. Ils ont bien compris que leurs discours manquaient de cohérence et de cohésion mais ils n’en changent pas comme s’ils voulaient surfer sur cet aphorisme de Hannah Arendt : « Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé, non seulement de sa capacité d’agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez. »

Bref, plus le temps passe et plus s’impose le sentiment que tout est fait pour entretenir la psychose, façon de faire accepter la paralysie de la nation par la population. Pour se relancer, une fois la crise passée, il n’y aura pas d’autres choix que de recourir à l’emprunt qui, comme chacun sait, n’a qu’une vertu : enrichir les banques.

L’épargne, dans le monde, et plus particulièrement dans les pays riches, là où le Covid frappe le plus fort, là où l’ont interdit la chloroquine, atteint des sommes vertigineuses. Les banques, premières observatrices de ces richesses, ne peuvent que les convoiter. Les financiers, d’ailleurs, ne s’y trompant pas, se bousculent dans les médias pour affirmer qu’avec 10% de l’épargne mondiale, on couvrirait les dépenses dues à la crise.

De là à imaginer que la pandémie a été planifiée, il n’y a qu’un pas qu’on ne peut refuser catégoriquement de franchir qu’à la seule condition de croire que le nouveau monde est celui d’une  époque vertueuse où les financiers ne feraient plus la loi. Ce qui reste quand même à prouver.

 

Planification de la pandémie, et si le scénario n'était pas fictif
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École Colbert, le Tribunal administratif contraint le maire à nous fournir les documents demandés. Riche d’enseignements…

15 Avril 2020 , Rédigé par droin

Au moment où tout le monde pense Covid-19, hydroxychloroquine, médias vendus au système, gouvernement aux abois, masques, tests, et bilans morbides, l’actualité rochefortaise suit son cours. Notamment l’affaire de l’école Colbert qui vient de s’enrichir d’un nouvel épisode. Pour ceux qui ont envie de se changer les idées, en voici la synthèse :

 

Rappel des faits.

Fin 2018, une rumeur bruisse : le maire s’apprête à brader cette école (650.000 € pour 1870 m2 en plein centre ville) à un promoteur immobilier bien connu. Aussi l’envie d’éclaircir cette histoire nous prend et nous allons en mairie demander des pièces relatives à cette vente. Pièces qui sont légalement accessibles au public, évidemment.

Les services municipaux nous disent, à notre grande surprise, qu’ils doivent en demander l’autorisation. Quelques jours plus tard, nous revenons à la charge. Le maire, nous dit-on, refuse de vous les communiquer. On nous cite simplement trois agences immobilières ainsi que l’étude notariale Nyzam à Rochefort. C’est tout.

Nous écrivons donc au récalcitrant et lui demandons copie des contrats passés avec lesdites agences ainsi qu’une évaluation des Domaines. Il ne répond pas, comme il en use d’ordinaire. Nous le relançons, sans succès. Nous saisissons la CADA et la relançons quatre fois durant l’année 2019.

En octobre, elle finit par s’intéresser à notre demande. Elle questionne le rétentionnaire qui répond qu’il n’avait pas pu nous fournir les pièces, car il en avait besoin pour établir le compromis de vente, qui a été approuvé en conseil le 6 février 2019. Nous étions en octobre.

Janvier 2020, après avoir pris connaissance de cette excuse fantoche, la CADA l’avise qu’il ne peut pas retenir les documents. Il doit nous les communiquer. Nous les lui réclamons dans la foulée. Il continue de faire le sourd.

Le 18 mars, dernier, deuxième jour de confinement, nous faisons une requête auprès du Tribunal administratif de Poitiers qui contraindra enfin le maire de Rochefort à nous fournir ces pièces demandées sans relâche depuis plus d’un an.

Aujourd’hui, 15 avril 2020, nous venons d’obtenir le précieux sésame. Du moins partiellement, mais cela suffit à comprendre les raisons de cette rétention.

 

Une publicité ridicule

Quand une ville veut céder une partie de son patrimoine, elle doit le faire à bon prix. Pour cela, elle doit tenter de trouver le plus d’acquéreurs possible avec une publicité digne de ce nom. Or, d’après les éléments reçus, la mairie s’est contenté, non pas de trois agences, comme on nous l’avait dit, mais d’une seule et de l’étude notariale. Elle a donc mis toutes les conditions de son côté pour ne pas trouver de candidat. Ce n’est pas tout.

 

Un prix d’ami

Ce que nous craignions, s’est malheureusement révélé. Le prix annoncé dans les agences et en l’étude notariale, était largement supérieur au prix réservé au promoteur de M. Blanché. Le bien, rappelons-le, lui a été proposé 650.000 euros. Or, l’agence immobilière l’estimait entre 750.000 et 800.000 €. Une somme que la ville a curieusement trouvé insuffisante, au point d’en demander encore davantage : 994.000 €. Quant au contrat passé chez le notaire, on est à peu près dans les mêmes eaux : 973.750 €, honoraires de négociations compris. Dans le contrat signé avec cette étude, une clause prescrit à la mairie de s’interdire de proposer son bien à la vente à un prix inférieur à celui fixé, c’est-à-dire 973.750 euros. Le mandat étant valable six mois, et renouvelable par tacite reconduction, il faut croire que le maire a vite mis fin à cet engagement pour pouvoir brader l’école à sa guise.

 

En résumé

M. Blanché a fait très peu de publicité pour tirer un bon prix de l’école Colbert. Il l’a mise en vente dans une seule agence et chez un notaire à un prix allant de 50 à 53% plus cher que le prix auquel il la proposera finalement à un promoteur qu’on a beaucoup vu à ses côtés pendant le premier round des municipales. Surtout, il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour garder ces informations à l’abri des regards.

Nous avions promis de faire la lumière sur cette affaire, nous le faisons, en espérant n’avoir pas d’autres rebondissements à déplorer.

École Colbert, le Tribunal administratif contraint le maire à nous fournir les documents demandés. Riche d’enseignements…
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Études randomisées, ou la farce morbide

12 Avril 2020 , Rédigé par droin

Les adversaires du Pr Raoult lui font reproche de ne pas procéder à des études randomisées. Rappelons qu’une étude de ce type consiste à prendre un groupe de patients, à le diviser en deux, puis à administrer un placebo à une première moitié et le médicament à la seconde. Face à un virus qui, s’il n’est pas traité à temps, peut avoir des conséquences létales, la conscience du praticien est mise à rude épreuve. Il a en main un traitement qu’il estime sûr. On lui demande, au nom de la science et de la procédure, de sacrifier la moitié de ses patients en leur donnant un ersatz.

En vertu de quels critères peut-il décemment agir ainsi ? Qui va-t-il sacrifier ? Les arabes ? Les noirs ? Les blancs ? Les pauvres ? Les moches ? Ceux qui sont trop beaux ? Les fascistes ? Les gauchistes ? Les supporters du PSG ? Ceux de l’OM ?

Soyons sérieux : une étude randomisée, en d’autres circonstances, certainement ! En temps de guerre, au moment où il faut sauver un maximum de vies dans l'urgence, c’est du dernier morbide. Ou alors avec des volontaires. Par exemple, tous ceux qui ne pas croient au protocole du professeur marseillais. En espérant qu’ils ne changent pas d’avis entre temps, évidemment.

Études randomisées, ou la farce morbide
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Quand les chiffres valident le protocole du Pr Raoult

9 Avril 2020 , Rédigé par droin

Ces deux tableaux sont réalisés à partir des chiffres de Santé publique France (chiffres officiels), en date du 08.04.2020.

Ils sont établis uniquement pour les départements dont le nombre de décès excède 100. C’est-à-dire les 19 départements les plus touchés.

Si on fait le pourcentage entre le nombre de personnes rentrées à leur domicile (RALD) et le total des personnes hospitalisées, les Bouches-du-Rhône ‒ où se situe l’IHU Méditerranée de Didier Raoult ‒ sont en tête avec 44%.

Idem pour le nombre de décès par rapport à ce même nombre de personnes hospitalisées. Avec seulement 6%, le département de Marseille est largement en tête.

La colonne « total » représente le nombre de personnes hospitalisées plus le nombre de personnes rentrées à leur domicile (RALD), plus le nombre de décès.

Quand les chiffres valident le protocole du Pr Raoult
Quand les chiffres valident le protocole du Pr Raoult
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Covid-19 & complotisme

1 Avril 2020 , Rédigé par droin

Il paraît que les complotistes de talent savent mélanger le vrai et le faux pour donner du poids à leurs arguments. Comme nous n’avons pas la prétention d’être talentueux, et que nous ne sommes pas complotistes, nous ne mêlerons que ce qui est avéré aux questions que cela suscite.

 

À force de multiplier incohérences et approximations, à force de laisser les Français dans l’opacité, le gouvernement prend le risque de nourrir ce que certains appellent le conspirationisme (ou complotisme). Aussi, avant de poursuivre, semble-t-il indispensable d’étudier d’une part ce qui se cache derrière cette notion de complotisme ; d’autre part, de rappeler les dessous de la situation actuelle ainsi que les conséquences qui pourraient nourrir ce sentiment, si des réponses sensées ne sont pas apportées.

 

Complotisme ou conspirationisme.

Selon les décodeurs du journal Le Monde : « Il existe plusieurs définitions de ce qu’est une théorie conspirationniste (on dit aussi « complotiste »). D’une manière générale, l’expression désigne les thèses qui affirment qu’un groupe plus ou moins occulte manipule le monde ou au moins certains grands événements (élections, attentats…) dans le plus grand secret. Selon les cas, il peut s’agir des "reptiliens" (des reptiles humanoïdes), des Illuminati, des francs-maçons, ou toute autre organisation à l’influence supposément importante – mais toujours cachée.[1] » Autrement dit, le complotiste est celui qui voit partout des complots menés par une caste dominante.

Seulement, ce que feignent d’ignorer les décodeurs du Monde, et avec eux tous ceux qui hurlent au conspirationisme, c’est que des groupes de cette nature, des groupes dont l’influence n’est plus à démontrer, existent bel et bien.  Le plus puissant et le plus efficace est sans conteste le Council on foreign relations (CFR).

Fondé en 1927 pour réunir l’élite financière, politique et affairiste anglo-américaine, le CFR abrite tous les plus grands patrons de banques américaines, les importateurs de pétrole, les fabricants d’armes, des conseillers de présidents américains, les grands boss de la CIA, des généraux influents. Bref, des personnes qui exercent un véritable ascendant. Le clan Rockefeller, dont l’ancêtre John en est même l’un des fondateurs[2], y sévit depuis le début. Le président Gérald Ford, y fut un membre éminent, comme l’entourage du couple Clinton, pour ne citer que quelques exemples.

À la suite du CFR, dont ils ne sont, en fait, que des émanations, se trouvent d’autres groupes. Le plus connue est celui du Bilderberg. Il a été fondé en 1954 pour étendre l’influence anglo-américaine en Europe. À Philippe de Villiers qui lui demandait ce qu’il faisait aux réunions Bilderberg, François Fillon répondit : « Mais c’est eux qui nous gouvernent ».

En 1973, vint la Commission trilatérale pour toucher l’Asie. D’autre part, ceux qui s’intéressent de près à ce que l’on appelle pudiquement ces thinks tanks connaissent les liens étroits qui les unissent à des sociétés secrètes plus ou moins satanistes comme la Fabian society, le Skull and Bones ou le Scroll and Key.

Ceci n’est ni du complotisme, ni du conspirationisme, c’est une réalité. Une réalité cachée, une réalité dont aucun média ne parle, mais une réalité effective. Il suffit de se renseigner[3].

Ce qui est encore connu, sans faire preuve de conspirationisme, c’est que ces thinks tanks se réunissent régulièrement et que le contenu de leurs « convents » est strictement secret. Donc, sans parler de complot ou de conspiration, on peut au moins parler de réunions ultra secrètes. La différence, avouons-le, est plus affaire de rhétorique que de fond.

Pour ne pas être trop long sur le sujet, concluons avec l’idée que ces groupes de pressions se font des « gens ordinaires » que nous sommes. La scène se passe à New-York, en 1924. Montaigu Norman, gouverneur de la banque centrale Britannique, s’adresse à un parterre de banquiers américains. Il leur explique comment faire plier le bon peuple pour le rendre plus stupide et plus docile : « Le capital doit se protéger de toutes les manières possibles, par la combine et la législation à la fois. Les dettes (des particuliers) doivent être remboursées, les hypothèques doivent être saisies aussi vite que possible. Lorsque, à travers le processus légal, les gens ordinaires perdent leur maison, ils deviennent plus dociles et plus facilement gouvernés par le bras séculier du gouvernement, mu par un pouvoir central exercé par les riches sous la direction des financiers. Ces vérités sont bien connues de nos agents qui s’emploient, à présent, à former un impérialisme pour gouverner le monde. En divisant les électeurs, grâce au système des partis politiques, nous les forçons à dépenser leurs énergies et à se battre pour des questions insignifiantes.[4] » On comprend pourquoi le contenu de ce genre de réunions doit rester ultra secret, des fois que « les gens ordinaires » en prennent conscience. Voilà pour « les groupes plus ou moins occultes », selon l’expression des décodeurs du Monde.

 

Passons maintenant au deuxième volet. Celui de la pandémie qui ravage la planète. Une foule de questions n’ont pas encore de réponses. C’est tout à fait regrettable. Cette carence nourrit les idées les plus sombres : et si tout était planifié ? Et si c’était les banques qui étaient à l’origine de tout pour ravager l’économie des Nations, avant de leur prêter l’argent dont elles auront besoin et qu’elles rembourseront avec force intérêt ? Et si certains rêvaient d’un nouveau plan Marshall pour sauver non plus l’Europe, mais le monde entier ? Bref, et si le sacrifice de centaines de milliers de vie ne faisait pas finalement les affaires des uns au détriment des « gens ordinaires » ? En l’absence de réponses claires, on ne pourra pas empêcher les fantasmes. En attendant, tâchons de répondre à ce que l’on sait pour tenter d’avancer dans la réflexion.

 

L’origine du Covid-19

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la contagion serait d’origine animale (zoonose), et serait apparue pour la première fois en Chine sur le marché de la ville de Wuhan, à la fin du mois de décembre 2019. Mais cette hypothèse a été remise en cause par le gouvernement chinois lui-même. Selon lui le Covid-19 viendrait simplement des États-Unis. Les Américains auraient pu apporter le virus avec eux lors des Jeux mondiaux militaires, à la fin du mois d'octobre 2019. Directement visée, l’armée américaine dont on sait qu’elle est autant aux ordres de la CIA (c’est-à-dire du CFR) que de la Maison-Blanche.

Autre événement troublant révélé par les Chinois, le 18 octobre 2019, s’est tenue à New-York une grande manifestation, intitulée Event 201 et organisée par le centre de sécurité sanitaire John Hopkins, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. Il s’agissait de simuler l'arrivée d'une grave pandémie afin d'illustrer les besoins nécessaires pour faire face aux conséquences économiques et sociales à grande échelle[5]. D’autres sources, enfin, affirment que le Covid-19 serait partie volontairement du laboratoire P4 de Wuhan, ce qu’infirme, évidemment le laboratoire visé ‒ mais qui pouvait penser une seconde qu’il allait confirmer. Pour l’instant, on est contraint de constater qu’aucune preuve, dans un sens comme dans l’autre, n’a été apportée. On reste donc dans l’expectative en n’écartant aucune piste. Aucune.

 

Yves Lévy à Wuhan

Le 23 février, 2017, Yves Lévy, alors patron de l’Inserm et mari d’Agnès Buzin, future ministre des Solidarités et de la Santé d’Emmanuel Macron, était à Wuhan avec le chef du gouvernement de l’époque, Bernard Cazeneuve, pour la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique p4[6]. Conçu par des experts français, puis mis en chantier à Wuhan en 2011, ce laboratoire de pointe n’est autre que la consécration d’un accord intergouvernemental, entre la France et la Chine, signé en 2004. Une coopération qui reposait également sur l’accord de 2014 entre l’Inserm, l’Institut Pasteur, la fondation Mérieux et le Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), ainsi que sur les rapprochements entre l’institut Pasteur en France, l’institut Pasteur de Shanghai, la fondation Mérieux et l’Institut de virologie de Wuhan.

Parallèlement, Bernard Caseneuve missionnait Yves Lévy et lui demandait de travailler avec la Chine à l’élaboration d’un programme de coopération autour du P4 de Wuhan. Autrement dit, durant sa présidence de l’Inserm (2014-2018), il est prouvé qu’Yves Lévy a été en contact permanent avec ce laboratoire Chinois, ainsi que d’autres spécialistes français.

 

L’hydroxychloroquine n’est plus en vente libre

Le 13 janvier 2020, alors que la Chine est en pleine crise épidémique, Agnès Buzin interdit la vente libre de l’hydroxychloroquine en la classant sur la liste II des substances vénéneuses. Or, à Marseille, le Pr Raoult annonce justement que ce médicament traite de façon très efficace la pandémie qui s’annonce. Les mêmes décodeurs du journal Le Monde volent au secours de celle qui était encore ministre : « Agnès Buzyn n’a pas agi en pleine épidémie de Covid-19. Cette décision n’a pas été prise en début d’année, mais quelques mois avant. L’Agence nationale de sécurité sanitaire avait donné son feu vert à cette nouvelle classification le 12 novembre, quelques semaines avant l’apparition du nouveau coronavirus. » Quelques semaines en effet. Si la contagion est réellement d’origine animale, disons que c’est un fâcheux hasard. Si elle a été planifiée, ce qu’affirment les « complotistes », elle est dans la chronologie des choses : une pandémie, oui, mais à condition de ne pas pouvoir la soigner immédiatement. D’où la nécessité de retirer au grand public la possibilité de recourir au médicament qui soigne.

 

Raoult VS Lévy

Il est maintenant de notoriété publique qu’il existe un antagonisme patent entre le Pr Raoult et le Dr Lévy, mari d’Agnès Buzin. Pour bien comprendre, il faut intégrer les rivalités entre deux clans, avec chacun ses laboratoires, ses médecins, ses spécialistes. D’un côté, il y a l’Inserm (dont Yves Lévy, rappelons-le, a été le président de 2014 à 2018), l’Institut Pasteur, la fondation Mérieux et toutes leurs ramifications internationales, puisque nous sommes en pleine mondialisation ; de l’autre : certains IHU, dont celui de Marseille du Pr Raoult.

Les Instituts Hospitalo-universitaires (IHU) bénéficient depuis 2010, d’un régime spécial qui les émancipe de la tutelle de l’Inserm pour leur permettre de réagir et de prendre des décisions en dehors des lourdeurs bien connues de l’administration française. À peine nommé à la présidence de l’Inserm, Y. Lévy veut mettre un terme à ce statut pour prendre la haute main sur les instituts et les avoir à sa botte. En 2017, Agnès Buzin, sa femme, devient ministre des Solidarités et de la Santé. Malgré un décret lui interdisant toute décision relative à l’Inserm, toujours présidé par son mari, elle a, un temps, envisagé de lui donner satisfaction en réformant le statut des IHU pour les mettre sous la coupe de l’Inserm. Didier Raoult et beaucoup d’autres se sont élevés énergiquement contre cette décision, obligeant Édouard Philippe à intervenir en personne pour y mettre le holà, renvoyant ainsi la ministre et son mari dans leurs buts, avec toutes les rancunes qu’on imagine.

 

Les cafouillages du gouvernement français 

Au début de l’année 2020, les autorités se pressent sur les plateaux de télévision pour annoncer que l’épidémie chinoise n’a aucune chance de franchir nos frontières. Pour Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, il n’y a pas d’urgence à fermer les écoles. Propos repris par l’inimitable Sibeth N’Diaye : « Quand il y a une épidémie de grippe en France, on ne ferme pas toutes les écoles. » Pour Agnès Buzin, encore ministre, le risque de contagion en France est pratiquement nul, affirme-elle en conférence de presse depuis l’Élysée, le 21 janvier. Le jeudi 12 mars, Emmanuel Macron maintenait les élections municipales qui devaient se dérouler le dimanche suivant. Jusqu’à la mi-mars, alors que la France compte déjà 200 morts du Covid-19 et plusieurs milliers d’hospitalisations, le gouvernement réagit très mollement tout en tentant de se montrer rassurant. La France, dit-on, est en mesure de faire face. Elle possède tests, appareils respiratoires, masques, lits en quantité suffisante. Aucun risque de pénurie :

« On a des stocks d’État », clame la porte-parole. « Les masques sont livrés très régulièrement », appuie Laurent Nunez. Bref, on ne s’affole pas. Rien ne peut nous arriver, nous sommes prêts. Pourtant les professionnels de santé s’alarment : « Le gouvernement courre après la crise. […] Rien n’a été préparé. […] Il y a une grande colère des professionnels de santé par rapport à cette gestion de la crise. […] On a l’impression aujourd’hui que, réellement, on est dans une situation catastrophique, une désorganisation totale »[7], se désole Christophe Prudhomme, porte-parole des médecins urgentistes Français.

Des lits ? On n’en a pas. Des appareils respiratoires ? Idem. Quant aux tests, on n’y comprend nib. D’abord, on dit aux Français que ça ne sert à rien : « En circulation active, le test n’a pas beaucoup d’intérêt, aucun pays ne l’a fait », ose Jérôme Salomon dans sa conférence de presse quotidienne du 17 mars, le jour-même où E. Macron annonce le confinement obligatoire. Pourtant, Tedros Adhanom Ghebreyesus, président de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), n’est pas de cet avis : « Tester ! Tester ! Tester ! », ne cesse-t-il de répéter, obligeant le gouvernement français a changer son fusil d’épaule et annoncer des tests qu’on a beaucoup de mal à planifier faute de matériel.

Pendant ce temps, à Marseille, le Pr Raoult se désole. Depuis le mois de février, il clame qu’un protocole alliant hydroxychloroquine et azithromycine traite de manière efficace le virus. Pour cela, il s’appuie sur des études faites dans les laboratoires Chinois, les plus avancés sur la question, selon lui. 

 

Le protocole hydroxychloroquine-azithromycine

Aussitôt, une cascade de sarcasmes s’abat sur lui. Des journalistes, des chroniqueurs, des proches du pouvoir et quelques praticiens dociles tentent de le faire passer pour un farfelu aux thèses « très controversées ». Les plus hargneux le menacent : « Tu vas arrêter de dire des conneries d'ici demain 14h, sinon tu verras »[8], lui assène l’un de ses confrères au téléphone.

Or, le Pr Raoult est tout sauf un foldingue. C’est une sommité, l’un des plus grands spécialistes mondiaux en infectiologie. Il est à la tête de l’IHU de Marseille, une unité qui a coûté plus de 150 millions d’euros.[9] Sa fiche Wikipédia est impressionnante : « Il est l'un des chercheurs français les plus cités, avec de nombreuses publications scientifiques à son actif. »

Les accusations n’impressionnent pas le Marseillais. Il poursuit et administre son protocole. Le 31 mars, les premiers résultats incontestables tombent. Sur 1.003 personnes traitées avec le protocole hydroxychloroquine-azithromycine, une seule est décédée : un homme de 84 ans. Des résultats qui confirment les annonces du professeur : soigné convenablement, le Covid-19, deviendrait vite inopérant.

De leur côté, les contempteurs de la chloroquine s’emballent. Ce médicament est dangereux. Il peut avoir des conséquences cardiaques et ophtalmologiques terribles. Des propos que les Français ne comprennent pas. On l’utilise depuis des décennies pour traiter, entre autres, le paludisme. Il a été très efficace contre le dernier SARS connu, un virus très proche du Covid-19, sans le moindre problème. Pourquoi deviendrait-il d’un seul coup risqué ? « Que l’on découvre, au moment où on en aurait un besoin crucial que c’est un poison, n’a aucun sens, réagit Didier Raoult. Je ne sais pas d’où ça sort. Peut-être qu’un jour on le saura. »

Placés en face de leur ineptie, les détracteurs changent leur stratégie : le Pr Raoult n’a pas employé la procédure habituelle, arguent-ils. On ne met pas un médicament sur le marché comme ça, disait l’un d’entre eux sur le plateau de CNEWS. C’est vrai. Seulement, le processus en usage prend plusieurs années et là, comme l’a seriné Emmanuel Macron, on est en guerre. On est dans l’urgence. A-t-on le temps de perdre du temps ? Avec un nouveau médicament, on pourrait le comprendre. L’hydroxychloroquine, elle, est connue depuis 70 ans. On ne part pas dans l’inconnue.

 

Conseil scientifique et conflit d’intérêt

Pour Euros For Docs, un site qui étudie la transparence du lobbying des industries de santé, « Derrière les crises sanitaires se cachent souvent des conflits d’intérêts majeurs. Les études scientifiques et les prescriptions médicales manquent d’indépendance, influencées par une industrie discrètement omniprésente. » Or, depuis le 10 mars, Emmanuel Macron et le gouvernement se sont entourés d’un conseil scientifique auquel est venu s’ajouter le comité analyse, recherche et expertise (Care), le 24 mars. Il est intéressant de savoir qui compose ces deux instances et surtout de connaître les liens de leurs membres avec les laboratoires pharmaceutiques, évidemment très intéressés, d’un point de vue financier, par le traitement du Covid-19. Le site Médiapart a publié un article sur la question.[10] Il apparaît, selon les renseignements du site, qu’au moins quatre consultants ont été défrayés ou rémunérés par l’industrie pharmaceutique ces dernières années avec des sommes, pour certains, de plusieurs centaines de milliers d’euros.

 

 

L’attitude du gouvernement

Chaque fois qu’il apparaît à l’écran, Olivier Véran, ministre de la Santé, a l’air contrarié. Médecin de profession, il semble tiraillé entre les analyses du Pr Raoult et la doxa du conseil scientifique. Un conseil dans lequel figure une certaine Karine Lacombe, nouvelle égérie du Premier ministre et des grands médias en matière de santé. Cette madame Lacombe, l’une des plus acharnées contre le professeur marseillais, est, elle-même, en lien étroit avec au moins deux laboratoires : Abbvie et Gilead. Ce conseil scientifique est formel : pas d’hydroxychloroquine prescrit par les médecins généralistes, avant que l’essaie clinique Discovery n’aie rendu son verdict. Rappelons que, jusqu’au 13 janvier dernier, ce médicament était en vente libre. Maintenant, on ne veut même pas que des médecins de ville le prescrivent. Là encore, les Français ne comprennent pas. On est dans l’urgence ! Qu’est-ce que ça signifie. Pendant ce temps, des centaines de personnes meurent chaque jour.

Autre incohérence magistrale, au sujet du médicament, le moment de sa prescription. Le 27 mars dernier, le ministre de la Santé, un temps séduit par l’idée d’administrer l’hydroxychloroquine, revient sur ses pas. On ne pourra la donner que dans les hôpitaux à des personnes gravement atteintes. Réponse du Pr Raoult : « L’hydroxychloroquine doit être prescrite dès le début […] Quand il est trop tard, il est trop tard. C’est-à-dire au moment où les gens sont en réanimation, quand ils ont des syndromes de détresse respiratoire, quand on est obligé de les intuber, ce n’est plus l’heure des antiviraux […] quand les lésions sont faites, c’est trop tard. » Le docteur Véran sait parfaitement cela. Pourquoi une telle décision ? Voici, pour sa part, ce qu’affirme l’ancien ministre Philippe Douste-Blazy, lui aussi médecin : « Si vous donnez de la chloroquine aux formes uniquement sévères, vous n’aurez jamais d’efficacité. Est-ce que c’est ça le but ? J’espère que non. »

 

Tout ceci inspire les questions suivantes :

  1. Traité dès le début avec un protocole qui a déjà fait ses preuves, le Covid-19 n’aurait-il pas connu le sort de toutes les autres attaques virales endurées ces dernières années ? C’est-à-dire que personne n’en aurait entendu parler et que sa dangerosité aurait été vite jugulée.
  2. À qui pourrait profiter cette crise ? D’abord aux gouvernements complices, pour faire plier les peuples ? On a confiné les populations pendant des semaines, voire des mois ; après cela on pourra tout leur faire accepter pour redresser l’économie, sous couvert, bien évidemment, de « crise sans précédent ». Les gens ordinaires deviendront « plus dociles et plus facilement gouvernés par le bras séculier du gouvernement, mu par un pouvoir central exercé par les riches sous la direction des financiers », pour reprendre les mots de notre Montaigu Norman de 1924. Ensuite, à ces mêmes financiers? Les Nations, aux abois, n’auront d’autres ressources que l’emprunt qui, comme chacun sait, n’a qu’une vertu : enrichir les banques. Aux laboratoires ? En écartant l’hydroxychloroquine, qui ne coûte rien, ne vont-ils pas nous proposer une potion magique… mais beaucoup plus chère ? Enfin, à cette « caste dominante », qui pourrait parfaitement proposer un nouveau plan, type Marshall, pour amplifier sa fortune. Il n’y a plus, Dieu merci, de guerre mondiale, une pandémie pouvant parfaitement y suppléer.

 

Voilà où nous en sommes. Après plusieurs mois de Covid-19 en France et dans le monde, alors que les gens meurent par milliers chaque jour, alors que les économies s’écroulent, les questions restent multiples. Autrement dit, sans réponses rapides, les thèses dites complotistes auront autant de poids que la version officielle. Quant à savoir où se cache la vérité dans cette histoire, on aura malheureusement compté des centaines de milliers de morts avant de savoir.

 

 


[1] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/01/23/decodex-comment-reconnaitre-une-theorie-complotiste_5067727_4355770.html

[2] David Rockefeller Mémoires Éditions de Fallois. 2017.

[3] Pour commencer les recherches : https://fr.wikipedia.org/wiki/Council_on_Foreign_Relations

 

[4] Cité par Bruno Riondel dans Cet étrange Monsieur Monnet. P. 187. Polémia. 2017.

[5] Le Parisien http://www.leparisien.fr/international/coronavirus-la-chine-accuse-les-etats-unis-d-etre-a-l-origine-de-la-pandemie-24-03-2020-8286891.php

 

[6] P4 pour « pathogène de classe 4 », le niveau le plus élevé en matière de dangerosité des virus.

[7] Christophe Prudhomme sur BFMTV, le 30 mars.

[8] Le Canard Enchaîné du 25 mars.

[9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_hospitalo-universitaire_en_maladies_infectieuses_de_Marseille

[10]https://www.mediapart.fr/journal/france/310320/covid-19-les-conseillers-du-pouvoir-face-aux-conflits-d-interets?fbclid=IwAR2GbHPoPE3AgWaWI8v22I-SJ4pKDTvd2-yFGM-Q6WGBsCWUSzB5x8m85oY

 

 
Emblème des Skull & bones

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Hydroxychloroquine, et si la preuve était là !

30 Mars 2020 , Rédigé par droin

Quand on compare, région par région, le pourcentage des personnes qui rentrent à leur domicile par rapport à ceux qui sont hospitalisées, on trouve le résultat ci-dessous.

On s’aperçoit que seulement quatre Régions dépassent les 60%. Les autres sont très loin derrière. Sont-ce des régions dans lesquelles l’hydroxychloroquine est administrée ?

 

Ici, le pourcentage, région par région, selon les chiffres du gouvernement, des personnes rentrées à leur domicile par rapport à ceux qui ont été hospitalisées :  

 

Corse : 91%

Bourgogne Franche-Comté : 67%

Paca : 62%

Bretagne : 59%

.........................................................................................

Nouvelle Aquitaine : 42%

Occitanie : 41%

Pays de la Loire : 38%

Grand Est : 38%

Hauts de France : 37%

Auvergne Rhône-Alpes : 36%

Île de France : 31%

Val de Loire : 22%

Normandie : 24%

 

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Coronavirus, ces questions que les journalistes évitent de poser.

26 Mars 2020 , Rédigé par droin

Si on se contente de l’actualité diffusée à la télévision, la principale information tourne autour du confinement et de ses conséquences. En revanche, il y a plusieurs questions fondamentales que les Français se posent et auxquelles personne ne répond. D’abord, celles concernant la chloroquine. Le sujet a fait le buzz pendant quelques heures. Depuis, plus rien. Or, on aimerait entendre l’ancien ministre de la Santé, Agnès Buzin. Elle doit donner les raisons qui l’ont poussée à inclure ce médicament parmi les substances vénéneuses. 

Une grande étude d’ampleur européenne est en cours, nous dit-on. Résultats dans six semaines. D’ici là, combien de milliers de morts ? On nous dit que la chloroquine est autorisée quand le cas du malade est devenu désespéré. C’est-à-dire quand ses poumons seront devenus terriblement abîmés. Le Pr Raoult, lui administre le médicament dès le début. 

 

On aimerait aussi et surtout entendre le mari de Mme Buzin, Yves Lévy, ancien président de l’Inserm. On aimerait que M. Levy nous dise ce qu’il reproche au Pr Didier Raoult. Pourquoi a-t-il confisqué à l’IHU de Marseille le label de l’Inserm. On aimerait aussi savoir quel est son rôle exact dans le lancement du laboratoire chinois dont serait peut être issu le virus qui frappe la planète. On aimerait encore connaître les enjeux financiers relatifs au traitement du Covid-19 ? Quels en sont les acteurs principaux ?

 

Autre question qui turlupine le bon peuple : Si la chloroquine n’est pas efficace, que propose-t-on d’autres. Quelles solutions préconisent les grands maîtres ? Que dit l’Inserm à ce sujet ? Que dit M. Levy ? Quelles sont leurs solutions. Pour l’instant, le mot évasif est une litote.

Voilà quelques questions, perdues dans une multitude, pour lesquelles on aimerait avoir des réponses, plutôt que des images en boucle sur la France confinée et celle qui ne l’est pas ; des commentaires sur l’équipée ‒ à la BHL ‒ de M. Macron à Mulhouse ou autres infos sans grand intérêt pour comprendre ce qui se passe.

En un mot, on aimerait que les journalistes de ces chaînes dites d’info, nous donnent de l’info et non ce pathos lamentable auquel on a droit depuis le début de la pandémie.

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Rochefort avec enthousiasme ?

16 Mars 2020 , Rédigé par droin

Notre liste s’intitulait Rochefort avec enthousiasme. En ce lundi 16 mars, à 8 heures et sous la pluie, peut-on encore regarder notre ville avec enthousiasme ? Peut-être, mais il faut alors être d’un optimisme béat. Il y a d’abord cette crise sanitaire qui nous menace et dont on annonce des effets effroyables.

Il y a aussi les résultats des municipales, absolument inattendus. On a tout dit sur le bilan désastreux du maire, on n’y reviendra pas. Malgré cela, il réalise 45% des suffrages. Si l’on devait chercher des raisons à ce score, on pourrait le comparer à ce qui se passe ailleurs. Dans cette période de crise, l’électeur ne se sent pas l’âme aventurière. Il cherche de la sécurité. Le maire en place, ça rassure (voir Hidalgo à Paris). L’électeur se réfugie dans ce qu’il connaît. On a dit que le PS et l’UMP étaient morts et que LaREM et le RN les avaient remplacés. Ce n’est pas encore acté. Ni le parti du Président, ni celui de Marine Le Pen n’ont été en mesure de présenter une liste à Rochefort, comme dans beaucoup d’autres endroits, alors que les scories des deux premiers nommés étaient partout ou presque. Ils ressuscitent. Les gens se sont mis à l’abri auprès de ses partis refuges qu’ils connaissent. Finalement, l'Ancien monde, c'était pas si mal...

Si les municipales sont annulées, je représenterai notre liste (qui a été formidable) le moment venu, par solidarité avec tous ceux qui ont pris le risque de se déplacer pour nous soutenir. Nous ne les abandonnerons pas. En attendant, je vais saisir le tribunal administratif au sujet de la vente de l’école Colbert. Le maire fait de la rétention de documents, malgré l’avis de la CADA. Je n’ai pas voulu faire cette démarche au cœur de la campagne. C’eut été malsain. Je le fais maintenant par amour de la ville. Je trouve insupportable de voir notre patrimoine bradé dans ces circonstances obscures.

En attendant, que chacun prenne soin de soi pour traverser les moments pénibles qui s’annoncent, avec sérénité, sagesse et solidarité.

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Le JDM est en cour de distribution

6 Mars 2020 , Rédigé par droin

Rappel : ce deuxième numéro, comme le premier n’est pas notre programme (déjà distribué dans toutes les boîtes). Ce Journal des municipales est un bulletin qui nous permet de livrer un point de vue en même temps que des informations parfois ignorées par les deux principaux médias de Rochefort.

 

 

Au sommaire :

Le système très opaque mis en place par Hervé Blanché

Nos vidéos sont sur Youtube

Après six ans de fiasco, une nouvelle page doit s’ouvrir

Plus à l’ouest qu’au sud

Vente de l’École Colbert, une drôle d’histoire

Fermée en permanence

Nous rouvrirons la rue Goujon

Le JDM est en cour de distribution
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