Réponse à Mme Charov, Sud Ouest

Madame,

Dans cette campagne, vous aviez eu, jusqu’à présent, la bonne idée de ne pas parler de moi. Vous auriez dû continuer. Ça vous aurait évité d'écrire des bêtises.

Contrairement à ce que vous affirmez, je n’ai pas le « goût des querelles de caniveau ». C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles je ne lis plus Sud Ouest.

Si j’ai assisté à l’assemblée générale, puis extraordinaire, du comité des foires, c’est parce que j’y étais invité, au même titre que mes adversaires.

M. Blanché n’a pas daigné y venir et M. Blanc y est arrivé, une fois l’assemblée terminée. Comme vous.

Si vous étiez arrivée à l’heure, vous auriez entendu le président me remercier pour ma présence, ce qui vous aurait donné un indice. 

N’étant pas partisan des démarches inutiles, je n’ai pas l’intention de vous apprendre votre métier. Je me permets juste de vous signaler qu’un journaliste digne de ce nom, se serait renseigné avant d’écrire des inepties. Quant à ce qui a été dit, lors de cette assemblée, je me demande comment vous avez fait pour en sortir quelque chose étant donné que vous êtes arrivée à la fin des hostilités.

Dans ces conditions, vous comprendrez pourquoi je fais partie de ceux qui pensent que l’info la plus sûre, dans votre journal, ça reste encore l’horoscope.

Très cordialement.

Dominique Droin

K. Charov Sud Ouest