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Un non-événement
La non-candidature de François Hollande est un non-événement. En revanche, ce qui est intéressant médiatiquement, c’est la surcote d’Emmanuel Macron dans les sondages. Dans celui publié par Le Figaro d’hier, il était à 16%. C’est du bluff. Quinze jours avant le premier tour de la présidentielle, les sondeurs et les médias diront qu’il s’effondre. Mais il ne s’effondrera pas étant donné qu’il n’est jamais monté. Il est juste aidé par de puissants financiers internationalistes qui essaient de le vendre aux électeurs français. Le jour du premier tour de la présidentielle, le candidat socialiste, quel qu’il soit, fera entre 15 et 20%. Les autres candidats de gauche, Macron compris, ramasseront les voix des mécontents de leur camp. En tout, la gauche fera ses 40%, mais aucun de ses candidats ne pourra être au second tour. Il faut arrêter de donner de l’importance à ce qui n’en a pas.
La victoire de Trump
La victoire de Donald Trump est celle de l’antisystème contre les puissances financières et, partant des médias et des sondages truqués. La victoire de Trump est aussi celle du peuple qui commence à se réveiller et à ne plus se laisser mystifier par tout les enfumeurs et les dogmatiques. La victoire de Trump c’est la défaite du bobo-gogo qui se laisse berner par les codes de la bien-pensance. Bref, la victoire de Trump me réjouit.
Pourquoi nous ne pouvons accueillir les migrants
Cette histoire de migrants qui arrivent chez nous réveille une nouvelle fois le duel que se livrent souvent le cœur et la raison. Si l’on n’écoute que son cœur, il est évident que nous devons accueillir ces hommes. Comment pourrait-on laisser nos frères dans la souffrance ! Seulement, dès que l’on raisonne deux minutes, on s’aperçoit que cet accueil généreux ne tient plus. Cela pour deux raisons essentielles, qui sont d’ailleurs liées entre elles. Dans un premier temps, on sait que la France ne peut accueillir toute la misère du monde. En refusant de suivre ce principe cher à Michel Rocard, comme on le fait actuellement, on crée un appel d’air formidable, dans lequel s’engouffrent des centaines de milliers d’individus que l’on n’a pas les moyens d’accueillir. Si l’on admet ceux qui arrivent aujourd’hui, pourquoi refuserions-nous ceux qui arriveront demain. Et comme il y a sur terre des centaines de millions de malheureux, nous serions, en appliquant ce principe charitable, submergés et incapables de les entretenir. Cela paraît évident, mais il semble qu’il y ait encore des personnes qui ne s’en rendent pas compte et à qui il faille le rappeler.
Des hommes en pleine force de l'âge
D’autre part, si l’on observe les hordes qui pénètrent en Europe, on s’aperçoit qu’elles sont principalement composées d’hommes en pleine force de l’âge, autrement dit, en âge de faire la guerre chez eux pour défendre leur pays et, éventuellement, leur cause. Si nos anciens avaient eu la même attitude que ces migrants, si tous s’étaient carapatés, comme le font ceux que l’on accueille, il y a longtemps que la France ne serait plus la France et que nous serions sous la domination d’exaltés. D’autre part, si tous ceux qui sont attaqués, en ce bas monde, se mettent à fuir comme des lapins, on ne voit pas pourquoi les assaillants s’arrêteraient d’assaillir et les conquérants de conquérir. En peu de temps, la terre entière leur appartiendrait et ils seraient les maîtres pour y imposer leur fanatisme sans plus aucune résistance et sans que nous n’ayons plus aucune terre d’asile où nous réfugier pour leur échapper.
Enfin, le plus troublant est que, dans bien des cas, la France envoie ses soldats dans ces régions ravagées par les islamistes, et que nos soldats s’y font tuer pendant que les ressortissants de ces contrées viennent trouver le repos chez nous.
Dans ces conditions, on comprend bien que l’accueil des migrants ne pourrait être acceptable qu’à condition qu’il ne concerne que les vieillards, les femmes et les enfants. Or là, nous avons, dans la plupart des cas, l’exact contraire : les hommes gaillards viennent trouver un asile chez nous après avoir abandonné leur(s) femme(s) et leurs enfants sous les bombes. Aussi n’est-il pas interdit de se demander s’ils ne viennent pas ici en cheval de Troie pour mieux nous anéantir le moment venu.
La solution, et nous l’avons déjà dit ici, serait d’encadrer ces hommes militairement pour repousser, chez eux et ensemble, l’assaillant islamiste… À condition bien sûr que ces hommes soient prêts à relever le défi.
Migrants à Rochefort, c'est fait !
La rumeur l’annonçait depuis plusieurs semaines, Rochefort n’échapperait pas à la venue de migrants dans ses murs. Les uns disaient qu’ils seraient logés tant tel gymnase, les autres dans tel bâtiment de la ville. Finalement, la préfecture a tranché : vingt migrants seront installés à l’AFPA de Rochefort, av. Bernadotte, au nord de la ville.
Une chose est certaine, le maire de Rochefort ne s'y opposera pas. Il n’imitera pas en cela son homologue de Béziers qui, lui, déplore farouchement l’arrivée de migrants dans sa commune et le montre à travers différentes campagnes.
Pire, il y a dans l’entourage proche de M. Blanché des pro-migrants notoires. Notamment, M. Lelièvre, son directeur de cabinet à la ville et à l’agglo et, accessoirement, conseiller départemental (LR) de Charente. M. Lelièvre fait partie de ceux qui ont souscrit à la démarche d'un certain M. Chollet, initiateur d’une campagne pro-migrants à… Béziers, pour faire la nique à Robert Ménard. Or, ce même M. Chollet n’est autre que l’alter-ego de M. Joanny à qui l’on doit le «summer sound » de Rochefort. Bref, on est en famille pour défendre l’arrivée de nouveaux migrants à Rochefort. Migrants qui viendront s’ajouter à ceux déjà en place et logés du côté de la Gélinerie.
Les responsables et les coupables ne sont pas les migrants eux-mêmes. Ils ne font que profiter d’un appel d’air généré par des politiques irresponsables qui sont persuadés que la France en particulier, et l’Europe d’une manière plus générale, peuvent accueillir tout la misère du monde... jusqu’au jour où tout craquera. M. Blanché fait donc partie de ces politiques-là. Pas étonnant quand on sait qu’il soutient fidèlement Alain Juppé.
Ménard contre Ménard ou les petits délires de Sud Ouest
Ils s’appellent tous les deux Ménard. Le premier se prénomme Robert. Il a été élu par le peuple, maire de Béziers. Le second c'est Philippe, il est journaliste à Sud Ouest, ce qui rend toute autre présentation inutile.
Le maire de Béziers ne veut pas de migrants dans sa ville. Comme toutes les personnes de bon sens, il pense que ces jeunes gens feraient mieux d’aller défendre leur pays que de venir en France qui ne peut, comme on le sait, accueillir toute la misère du monde et encore moins ceux qui viennent ici pour imposer chez nous leur culture en combattant la nôtre.
Le journaliste est d’un avis contraire. Il est du parti de l’étranger, comme disait de Gaulle. Parti qui a toujours existé en France. Alors, il offre une tribune royale à un parfait inconnu qui ne s’est jamais présenté à une élection pour savoir combien il pesait réellement. Ceci afin que ce malheureux puisse lancer une campagne pro-migrants à Béziers et faire ainsi la nique à Robert Ménard.
Ce qui est choquant dans cette histoire, ce n’est pas le délire de l’inconnu. Des ultragauches il y en a encore quelques-uns et ils ont le droit de s’exprimer. Ce qui est choquant c’est qu’il puisse bénéficier du soutien de Sud Ouest, journal en principe d’information par opposition aux journaux d’opinion. Une chose est certaine, si un inconnu lançait un embryon de campagne, comme c’est le cas ici, contre les migrants, il y a très peu de chances que le quotidien s’en fasse l’écho. Ou alors si, mais pour mieux l’agoniser et fustiger son initiative.
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Un Cognaçais veut lancer une campagne pro-migrants à Béziers
D 'habitude, je prône plutôt l'ignorance face à ces gens-là. Mais cette fois, ça m'a énervé." Julien Chollet, un trentenaire qui travaille dans l'événementiel à Cognac et Rochefort, a dé...
La Passerelle est dans les boîtes
Cinq mille exemplaires distribués en une semaine. On ne sait pas si une autre force politique à Rochefort est capable, aujourd’hui, d’en faire autant. Le reliquat l’a été sur le marché samedi. Que ce soit dans les quartiers ou sur le marché, partout l’accueil a été excellent. Une exception, cependant. Sur le marché quelqu’un a qualifié La Passerelle de torchon. Le nom de cette personne ? Hervé Blanché. Il a même invité ceux qu’il a croisés à en arrêter la publication.
On va y réfléchir...
Quand Sud Ouest appelle à manifester contre le FN
Dans sa rubrique, Le Piéton de Sud Ouest appelle à marcher... contre le FN.
L’info date un peu, elle est du 24 septembre. Il faut dire que nous rencontrons de moins en moins de lecteurs de Sud Ouest pour nous parler des turpitudes de cette feuille militante. En tout cas, celui-ci (qui est aussi lecteur de La Passerelle) était outré après cet appel masqué à manifester contre la venue de Marion Maréchal-Le Pen à Rochefort lancé par Le Piéton. Est-ce à dire que les électeurs FN ne doivent pas être les lecteurs du quotidien régional ? Il faudra que le piéton, ou peut-être la piétonne nous explique.
La Passerelle, Présentation du N°26
Le n°26 de La Passerelle (5.000 ex) a été présenté hier à une partie de nos abonnés au Palais des congrès de Rochefort dans une ambiance sérieuse et chaleureuse, comme chaque fois que nous nous retrouvons. Merci à tous pour votre participation et votre soutien.
Au sommaire :
Les médias et le système
À ceux qui ne sont pas abonnés
Elle n’est pas belle la vie !
Demoiselle FM, un trésor de jésuiterie
Pour l’anecdote
Des nouvelles de la poubelle du Département… et d’ailleurs
Biopole part en fumée
Le sommeil des insectes
Un drôle de bruit
Saint-Charles, le nouveau Magasin aux vivres ?
Djikulullu, Gurriwiwi & co.
Chinoiseries
Procès Campodarve-Puenté, le communiqué refusé
Une Turque au tribunal
Rochefort et la droite la plus maladroite du monde
Pour s’abonner un an à La Passerelle : envoyer un chèque de 10 € à :
La Passerelle, Apt 6 – 38, av. Wilson 17300 Rochefort
Marion Maréchal-Le Pen à Rochefort
Plus de cinq cents personnes à Rochefort pour écouter Marion Maréchal-LePen au Palais des congrès. Beaucoup de simplicité, beaucoup de gentillesse et surtout énormément de talent. On comprend que Philippe de Villiers soit sous le charme.
